Atteinte rénale diabétique stimule risque de mortalité après une greffe échouées

Les enquêteurs britanniques ont rapporté un lien entre le diabète comme une maladie rénale primaire (PRD) et la survie après l'échec de la transplantation.
Leur étude a montré que les patients atteints de diabète que leur PRD avaient un peu plus de deux fois le risque de mourir dans les 90 premiers jours après le début de la dialyse après la perte du greffon que les patients dont l'insuffisance rénale native a été causée par un diagnostic autre que le diabète. En outre, le diabète comme PRD conféré un risque encore plus élevé de décès entre 90 jours et trois ans. Identifier les conditions associées à de moins bons résultats peut aider à guider la gestion des patients avec des greffes qui ont échoué et également d'identifier des sous-groupes qui ont besoin d'une surveillance plus intensive. D'après nos constatations, nous croyons que les cliniciens doivent surveiller les patients avec des greffes rénales défaillantes étroitement et assure la planification opportune pour le retour à la dialyse et / ou d'aptitude à re-transplantation. Les patients atteints de diabète sont plus sensibles aux infections et donc le début de la dialyse via un cathéter temporaire due à la planification de dialyse inadéquate peut avoir des conséquences importantes.
Autres types de PRD inclus glomérulonéphrite, l'hypertension, la maladie polykystique des reins, pyélonéphrite, la maladie rénovasculaire, étiologie incertaine, d'autres maladies à haut risque (tels que syImmunotherapyic vascularite et le lupus érythémateux disséminé) et d'autres maladies à faible risque (tels que l'hypoplasie ou rénale congénitale traumatique perte de rein).
Le risque accru de décès dans le groupe PRD diabétique est probablement dû à l'augmentation de leurs co-morbidités, Par exemple, les patients diabétiques sont plus susceptibles d'avoir des maladies cardio-vasculaires et la maladie vasculaire périphérique, qui sont tous deux associés à une morbidité et une mortalité importantes.
La planification de dialyse pauvres peut contribuer à le taux de mortalité plus élevé chez les patients diabétiques, dit-elle. Les diabétiques sont sensibles à l'infection, et l'initiation de la dialyse en utilisant un cathéter veineux central peuvent être associées à un taux important de complications liées à une septicémie. Au lieu de cela, elle a recommandé la planification en temps opportun pour le retour à la dialyse, les patients étant considérés pour ré-inscription de la transplantation en outre, le cas échéant.
Prompte reconnaissance de la greffe échoue avec surveillance ambulatoire régulière et entrée spécialiste permettrait un accès plus définitive vasculaire, comme une fistule artérioveineuse, à créer, ce qui pourrait réduire le risque d'infection pour les patients diabétiques sensibles, at-elle ajouté.

Dr Webb a averti que le manque de données annuelles de comorbidité peut représenter une limitation d'étude possible. En outre, seuls 173 patients sont décédés dans les 90 premiers jours, un taux d'événements à faible qui pourrait signifier que la taille de l'échantillon était trop petit pour détecter une différence.